Laboratoire du centre hospitalier de Podgoritsa
Il ne reste plus que la section adjointe de ce laboratoire qui a vu se fermer l'un après l'autre les départements de fixes, céramiques et châssis métalliques depuis la fin du communisme.
Il reste 10 techniciens travaillant les prothèses acryliques et 12 travaillants l'orthodontie.
Le manque de moyen est le problème majeur ici et ce depuis 40 ans, me confiera Bratso Shchepovich qui regrette les années de communisme. Cette époque où La capitale Podgoritsa s'appelait Titogrod (en l'honneur du Maréchal Tito) et ou "chacun avait un travail et avait de quoi vivre décemment"
Aujourd'hui les patients de l'hôpital, au delà de 65 ans, ne payent pas leur prothèse. En deçà de cet âge, ils payent 40 % du coût. |